• très mauvaise nuit...

    j'ai lu jusqu'à une heure du matin, avant de m'endormir deux heures après, avec une chaleur à faire fondre la chair humaine...

    les idées me revenaient, me disant que ma copine était en concert...elle en a de la chance, elle avait sûrement plein de filles autour d'elle, oui, j'ai honte mais je suis jalouse.

    Mais ce matin, je souris. Je ris de ma voix, de la bêtise de mon frère, l'adolescent. Il a pris ma place maintenant. Je dois grandir. Vous croyez vraiment que l'on puisse grandir ?


    3 commentaires
  • je n'ai rien fait, j'ai navigué sur quelques blogs, à la recherche d'une âme sensible. Cela fait plusieurs heures. Je n'ai pas avancé sur mes dossiers.

    Quelques morceaux de gratte m'ont accompagné dans ma flemmardise. Téléphone, un jour j'irais à New York avec toi, Cendrillon, Un autre monde.. Ma guitare me donne toujours ce petit bonheur, quand je me sens un peu seule, parmi l'ordinateur et les nuages.

    J'attends. J'attends d'avoir vraiment envie de fumer. Mon corps le réclame innoncemment, j'y pense. Je sens que j'ai envie. Pas besoin. Mais envie.

    Nous allons bientôt rejoindre le tabac, sur la fenêtre mouillée, le coeur battant.


    2 commentaires
  • J'avais prévu de mettre le réveil. De reprendre toutes mes notes pour mes dossiers de cours, de remplir mon rapport de stage, aller à la mairie retirer des informations, de lire et d'écrire dans la soirée...

    Hier soir, j'ai lu jusqu'à 23h30 et j'ai dû m'endormir une heure après.

    Ce matin, pas un réveil, pas une mouche ne m'a réveillé à 8h30. Ma journée est déjà fini lorsque je me lève tard. J'ouvre doucement les volets, dans la précipitation et la pluie m'éclabousse entièrement le visage, encore endormie. S'enchaîne tout, le petit-déjeuner, la vaiselle, la douche, le rangement de la maison, après le blog, ça sera l'aspirateur...

    Quelle agréable journée...! Je sais que je ne ferais pas la moitié de ce que je dois faire, mes passions prennent parfois trop le dessus.


    2 commentaires
  • Le livre, enveloppé dans un papier cadeau fleurie, se perdait finalement au milieu d'un tiroir. J'ouvre précipitamment, dans un élan de gaieté et j'aperçois le livre L'art de la vie, un roman complet de 621 pages. Si je ne sais pas écrire après sa lecture, j'arrêterai. Cependant, je me demande quand est-ce que j'aurais le temps, et surtout la tête pour lire, lorsque j'aurais tout mes examens, trois heures de sommeil par nuit, des leçons pleins la tête et un rapport de stage...

    Je le lierais, c'est sûr, je remercie ma marraine que j'aime très très fort...!


    votre commentaire
  • "J'espère que le bouquin te fera voyager" m'envoya ma marraine.

    Mystére, car je n'ai jamais vu l'ombre d'un nouveau livre traînait dans la boîte aux lettres, ou sur les étagères de bois, caché par un sombre papier cadeau. Et le plus mystérieux est que depuis ce jour, ma marraine ne reçoit plus mes textos. Plutôt embarassant comme situation.

     La question du jour est : où est le bouquin ? Est-il dans les pénombres pièces de La Poste, en grève ? Est-il froissait dans l'armoire des parents ? où avait-il envie de voir du pays ?


    votre commentaire