• Tout va bien.

    Je suis reçue.

    Mais je cherche du travail !

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  • Des fois, on aimerait se dire que rien ne va. Pourtant, ça n'est pas si grave.



    Il pleut, je dors peu, je grossis...ce n'est rien du tout !



    Mais les autres, au lycée, n'ont rien compris. Ils crient pour rien, s'énervent pour des broutilles, et moi, depuis la mort de J., j'ai appris une chose : relativiser. C'est vrai ; même si je rate tout mon examen, il n'y aura pas mort d'homme.

    Depuis, j'essaie de vivre en laissant faire les choses. Cet après-midi, je m'entraîne à l'oral devant un professionnel, demain matin, je passe vraiment et demain soir, je vais à la fête de la musique...


    Tout pour me motiver. C'est rare une Coralie motivée!

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  • Se lever le matin, c'est comme ramasser un gros tronc d'arbre sur la route. Surtout lorsqu'on sait que cette journée ne servira à rien.




    J'aimerais de la douceur, de la laine, des aiguilles, du pain chaud comme chez ma grand-mère. Mais je n'aurais droit qu'à de grandes voix "on vous donne la possibilité de vous entraîner et vous n'avez rien préparé. L'oral, c'est mercredi ! Vous l'avez compris ?"


    Je ne réalise rien. Je ne réalise absolument rien. Morphée me tient prisonnière.

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  • Une journée de plus débute. Je ne vais faire qu'apprendre et rire. Oui, rire. Nous allons regarder la cassette des 50 ans de mariage de mes grands-parents qui a eu lieu samedi dernier. Avec la semaine que nous avons passée, j'ai l'impression que ça fait 4 mois.


    Mais aujourd'hui, nous reviendrons sur un peu de joie. Ma famille est très forte pour ça. Vendredi, tout le monde riait. C'est bien après un enterrement !


    Je ne vais jamais réussir à réviser. Devant le jury, mercredi, je serais une merde.


    Et puis, tant pis...!

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  • Si

    Si seulement je pouvais éviter de passer cet oral mercredi...

    Je hais les oraux, je les hais, je les hais ! Je bafouille, je béguaie, je reste parfois muette, et je répète dix fois le petit mot "voilà" même si je n'ai pas fini ma phrase.


    Avec des si, on pourrait mettre Paris en bouteille, comme on dit. Mais comme dit Mathilde, sans si, il ne reste plus qu'une corde pour se pendre.

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